La street pho­to­gra­phy est une acti­vi­té dan­ge­reuse, en plus de ris­quer des bles­sures occa­sion­nés par les coups des pas­sants outrés que vous pho­to­gra­phiez dans la rue, la grande dif­fi­cul­té de ce sport de rue créé une frus­tra­tion entrai­nant des troubles psy­chiques lourds.

D’autre part elle vous détourne d’ac­ti­vi­té plus clas­sique et plus saine comme s’a­bê­tir s’é­veiller devant la télé, ou devant des blogs bizarres; boire avec vos amis jus­qu’à ne plus vous rap­pe­ler que ? 

A long terme votre pra­tique pho­to­gra­phique peut même être la source prin­ci­pale du mépris que vos proches, vos col­lègues ou vos voi­sins éprouvent indu­bi­ta­ble­ment pour vous. Mais alors…

Com­ment arrê­ter la street photography? 

Heu­reu­se­ment une solu­tion impa­rable existe : Lire la tota­li­té de cet article avant de se coucher: 

Toutes vel­lei­tés de conti­nuer la street pho­to­gra­phy dis­pa­rai­trons alors instantanément. 

Street pho­to­gra­phy is 99.9 percent about fai­lure. Alex Webb

99.9 pour cent des pho­tos de rue sont ratés. Alex Webb

Si l’illustre Alex Webb, pho­to­graphe Mag­num depuis 1976, auteur de 16 livres dont le fameux ” The suf­fe­ring of light “, vous dit qu’il faut prendre des mil­liers et des mil­liers de pho­tos pour en avoir quelques-unes de bonne. Pour­quoi insister? 

You put who are in a pho­to­graph… My Guts are in those pic­tures. Bruce Gilden

Tu dévoile qui tu est dans tes pho­tos… J’ai mis mes tripes dans ces pho­tos. Bruce Gilden

Si Bruce Gil­den, le prince des cli­chés volés, pho­to­graphe Mag­num depuis 1998, vous dit que vous devez vous dévoi­ler dans vos pho­tos, mettre vos couilles sur la table et que vos pho­tos en disent autant sur vous que sur votre sujet. Vous qui êtes pour­tant si timide et si intro­ver­ti. Pour­quoi insister?

…Cap­ture good pic­tures can­did with a lot of things going on. Mul­ti dimen­sio­nal type pic­tures ok it’s real­ly fucking hard to do ok… But that doesn’t make a pic­tures good or not. the thing is it has to have an emo­tio­nal content. Bruce Gilden

…Cap­tu­rer de bonnes pho­tos sans per­mis­sion avec beau­coup de choses dans le cadre. Des pho­tos mul­ti­di­men­sion­nelles (avec plu­sieurs plans), ok c’est vrai­ment dif­fi­cile a réa­li­ser putain… Mais ça ne suf­fit pas pour faire une bonne pho­to, il faut qu’il y est de l’é­mo­tion dedans. Bruce Gilden

Si le sus­nom­mé Bruce Gil­den vous dit qu’il ne suf­fit pas de poin­ter votre appa­reil pho­to dans la rue sur des sujets ori­gi­naux voire mar­gi­naux qui rem­plissent le cadre mais qu’en plus il faut le faire pile au moment pour que trans­pa­raisse une émo­tion sur le visage de ces incon­nus peu enga­geant. Pour­quoi insister?

Source : The face by Bruce Gilden

OPIUMM HOT’S GROOVE

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